Hollywood n'a pas finit de faire trembler le web... En effet, après le
lancement de la procédure qui a engagé la fermeture de Megaupload, la
puissante compagnie Hollywoodienne ne s'arrête pas là, et vise 5 autres
services d'hébergeurs de fichiers.
C'est lors d'une conférence sur le droit d'auteur que les responsables ont annoncés qu'ils engageaient des procédures contre les plateformes de téléchargements qu'elles jugent illégales.Après Megaupload, viens donc le tour de Wupload, Depositfiles, Fileserve, Putlocker et Mediafire d'être dans le collimateur de la MPAA ( Motion Picture Association of America).
Wupload a dores et déjà fermé son partage de fichiers. Seul ceux qui ont mit en ligne les liens peuvent accéder au contenu. MediaFire s'est défendu dans un communiqué en indiquant que
On peut se rassurer en se rappelant la victoire de Rapidshare la semaine dernière en Allemagne, où un tribunal avait jugé que l'hébergeur ne pratiquait pas d'activités illégales.
Que cela ne vous empêche quand même pas de dormir
C'est lors d'une conférence sur le droit d'auteur que les responsables ont annoncés qu'ils engageaient des procédures contre les plateformes de téléchargements qu'elles jugent illégales.Après Megaupload, viens donc le tour de Wupload, Depositfiles, Fileserve, Putlocker et Mediafire d'être dans le collimateur de la MPAA ( Motion Picture Association of America).
Wupload a dores et déjà fermé son partage de fichiers. Seul ceux qui ont mit en ligne les liens peuvent accéder au contenu. MediaFire s'est défendu dans un communiqué en indiquant que
Mediafire n'est pas géré par une bande de hors-la-loi,Nous n'imposons pas des limites artificielles au téléchargement pour inciter les utilisateurs à souscrire un abonnement payant, et nous ne rémunérons pas les utilisateurs qui chargent des contenus. (...) Mediafire collabore pleinement avec la MPAA, la RIAA et d'autres organisations qui luttent contre la distribution illégale de contenus protégés.
On peut se rassurer en se rappelant la victoire de Rapidshare la semaine dernière en Allemagne, où un tribunal avait jugé que l'hébergeur ne pratiquait pas d'activités illégales.
Que cela ne vous empêche quand même pas de dormir
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